Concept
Malgré le contexte économique actuel, nous pensons que les PME ont par leur souplesse, leur sens de l’innovation et leur adaptabilité la capacité de poursuivre leur croissance tant en France qu’à l’étranger. Compte tenu de la raréfaction du crédit bancaire, les fonds d’investissement de proximité (FIP) bénéficient d’une opportunité historique d’accompagner les PME françaises prometteuses.
Le FIP est un véhicule patrimonial adapté aux particuliers pour intervenir sur le marché du capital investissement. Il fait partie d’une classe d’actif rentable, qui présente un risque élevé de perte en capital, une faible liquidité et une durée de blocage de 8 années prorogeable deux fois un an, soit jusqu’au 30 septembre 2020 maximum.
Stratégie d’investissement
80% minimum
PME régionales
Sigma Gestion investit 80% de l’actif du FIP Sigma Gestion Fortuna 3 dans les PME régionales en phase de développement en Ile-de-France, Champagne-Ardenne, Lorraine et Alsace, dont 20% auront moins de 5 ans.
Pourquoi 80% ? : Pour bénéficier au maximum du potentiel de croissance des PME françaises non cotées en bourse.
Le FIP Sigma Gestion Fortuna 3 financera des PME dirigées par des entrepreneurs capables de prouver une capacité à générer de la croissance et des profits pour l’actionnaire. La plus-value potentielle sera réalisée au terme de la vie du fonds, lors de la revente des titres détenus par Sigma Gestion Fortuna 3.
Les investissements dans les PME sont réalisés en contrepartie d’un risque de perte en capital et de faible liquidité de l’investissement.
20 % maximum de liquidités placées dans des fonds monétaires
Durée
8 à 10 ans
Des gérants rémunérés à la performance : un système de Hurdle de 25% au terme
Par définition, un taux de Hurdle est un taux de rendement minimum à obtenir avant que ne s’enclenche un processus donné, en l’occurrence, l’intéressement des gérants.
SIGMA GESTION applique ce système de Hurdle en conditionnant la rémunération de ses gérants à une performance financière minimale de 25%.
En règle générale, les gérants de FIP et FCPI de la Place perçoivent un intéressement sur la plus-value réalisée par les fonds lié à la performance du fonds, et qui constitue la part variable de leur rémunération.
Chez SIGMA GESTION, cet intéressement se déclenche si le FIP réalise une plus-value de 25% minimum (hors avantage fiscal et net de frais de gestion) au terme. En deçà de cette performance, les souscripteurs conservent 100% de la plus-value. Au delà de cette performance, et après un rattrapage des parts B sur les parts A, l’équipe de gestion sera finalement intéressée à hauteur de 20% de la surperformance.
Ce système permet un mode de gestion gagnant-gagnant, car l’intéressement de l’équipe de gestion est directement lié à la plus-value que le souscripteur peut percevoir.
Attention, il ne s’agit en aucun cas d’une garantie de performance, mais d’un objectif de gestion.
Et concrètement ?
Prenons le cas d’un investissement brut de 10.000 euros. Grâce aux réductions d’impôts immédiates sur l’ISF et sur le revenu à découvrir à la page suivante, cet investissement ne vous revient qu’à 5.500 euros.
L’équipe de Sigma Gestion devra vous restituer au moins 12.500 euros dans 8 ans avant de commencer à percevoir un intéressement. Le portefeuille devra ainsi avoir performé d’au moins 25% sur la durée de vie du fonds.
Une fiscalité en 4 étapes:
1) Réduction d’ISF immédiate correspondant à 40% du montant de l’investissement (souscription hors droits d’entrée, avec 50% de réduction x 80% de PME éligibles). Cette réduction d’impôt est plafonnée à 20.000 euros.
2) Réduction d’IR au 31/12/2010 correspondant à 5% du montant de l’investissement ² (souscription + droits d’entrée, avec 25% de réduction x 20% restants du fonds). Cette réduction d’impôt est plafonnée à 3.000 euros pour un célibataire et 6.000 euros pour un couple soumis à imposition commune.
3) Une exonération d’ISF pendant toute la durée de vie du fonds à hauteur de 80% (hors droits d’entrée).
4) Une exonération d’impôt sur les plus-values (hors prélèvements sociaux).
En contrepartie d’un risque en capital et d’une durée de blocage des parts jusqu’au 30 septembre 2018 minimum (et au 30 septembre 2020 maximum sur décision de la société de gestion).